Vous souhaitez un reportage à domicile ou en studio   ?

Contactez-moi via l'onglet "Contact", en précisant dans votre demande, la date de l'événement, et les horaires.
Vous obtiendrez un devis précis et rapide.

Les clichés de l'artiste photographe présentées sur ce site sont protégées en droit d'auteur. Vous ne devez en aucun cas utiliser tout ou partie des photos sans autorisation écrite de l'auteur. Conformément à l'article L122-4 du code de la propriété intellectuelle.

Dans la clarté automnale du parc Bargoin à Royat (63), le décor semblait s’être figé entre rêve et cauchemar. Le vent faisait danser les feuilles mortes comme des âmes perdues, tandis qu’un crépuscule doré enveloppait deux silhouettes. Anne-Sophie, parée de rouge incandescent, incarnait la diablesse venue du feu et du désir de liberté. Rachel, vêtue de noir profond, la suivait d’un regard espiègle, presque ensorceleur. L’une représentait l’éclat flamboyant de la tentation, l’autre, l’ombre élégante du mystère. Ensemble, elles formaient un duo fascinant, complémentaire, presque alchimique. Chaque geste, chaque sourire semblait orchestré par une énergie invisible, une complicité née du jeu et de la création.
Le photographe Jaym observait cette scène à travers son objectif, conscient de capturer plus qu’une simple image. Il saisissait un instant de dualité : la lumière et la nuit, la braise et la cendre. La séance photo prenait des allures de rituel, où la créativité se mêlait à la magie d’Halloween. Le cadre naturel du parc, déjà chargé d’histoire, se transformait en théâtre de l’imaginaire. Rien n’était laissé au hasard : le regard d’Anne-Sophie, ardent et joueur, contrastait avec la douce ironie de Rachel, maîtresse des ombres. Dans ce décor automnal, chaque feuille semblait une étincelle, chaque sourire une promesse de sortilège.


De retour à l’atelier, Jaym laissa parler son art. Les photos brutes, déjà vibrantes d’émotion, devinrent la matière première d’un univers graphique. Grâce à la puissance de la suite Adobe, l’artiste fit naître un monde entre réalité et illusion. Photoshop devint sa forge créative, un lieu où chaque détail prenait vie sous sa plume numérique. Les flammes, symboles de la passion d’Anne-Sophie, s’enroulaient autour d’elle comme une aura surnaturelle. Rachel, l’amie gothique, fut entourée d’une brume sombre, légère, presque caressante. L’alchimie des deux âmes s’exprima dans la fusion des couleurs : le rouge incandescent du feu rencontrait le noir velouté de la nuit.
Jaym ne se contenta pas d’embellir une photo : il en fit une œuvre narrative, où chaque pixel racontait un fragment d’histoire. Les contrastes furent travaillés avec minutie, les ombres adoucies, les lueurs ravivées. L’artiste jouait avec la texture des peaux, la lumière sur les cheveux, les reflets dans les yeux. L’image s’ouvrait sur un autre plan de réalité, comme si le temps s’était arrêté dans un entre-deux mondes. Rachel semblait murmurer un secret invisible à Anne-Sophie, et cette dernière répondait par un sourire enflammé. La retouche graphique sublimait l’instant capturé, tout en respectant l’essence de la complicité entre les deux modèles.


Lorsque le travail fut achevé, Jaym contempla son œuvre : un photomontage d'Halloween à la fois sensuel, gothique et onirique. Sous ses doigts, l’image était devenue une fresque moderne, un hommage à la créativité et à l’amitié. Anne-Sophie et Rachel, transformées par la magie numérique, semblaient sortir d’un conte ancien revisité par la lumière du XXIᵉ siècle. Leur complicité transparaissait à travers chaque effet de flamme, chaque nuance de clair-obscur. L’artiste avait su capturer non seulement la beauté des visages, mais aussi la symbolique du feu et de l’ombre : deux forces opposées qui s’attirent et se complètent.
Dans cette création, rien n’était fortuit. Chaque retouche était pensée pour évoquer un sentiment : la chaleur, la curiosité, la malice, la fascination. Jaym, fidèle à son approche narrative, avait utilisé un logiciel de retouche optimal comme une palette émotionnelle, mêlant lumière et texture avec précision. Le résultat dépassait la simple photographie. C’était une mise en scène d’âmes, un instant suspendu entre le réel et l’imaginaire.
À travers cette œuvre, Halloween prenait une signification nouvelle : non plus une fête des peurs, mais une célébration de l’art, de la transformation et de la complicité humaine. Le parc Bargoin, les flammes numériques, les regards croisés d’Anne-Sophie et Rachel… tout participait d’un même enchantement. Une création signée Jaym, où la photographie devient un sort visuel, et où chaque pixel respire la poésie de l’instant.